Année
scolaire 2006-2007 |
Année
scolaire 2007-2008 |
Fête des parents (avril) |
sourcorama (avril) |
Opération 8 mai (mai!!!!)
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Pièce de théâtre (5 ème juin)
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Le carnaval
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Pendant trois semaines, je suis allée en Italie à Caspoggio avec mon papa et ma mamy. J’ai donné du pain aux mouettes et nagé dans la mer.
Sarah
Je suis allée chez ma tante Fabienne à Blégny Mine. J’ai visité le « Puits Marie » et le soir, j’ai vu un feu d’artifice.
Christine
Au mois de juillet, je suis partie à la mer du Nord. J’ai fait du cuistax sur la digue. C’était très amusant. J’aimais aussi le « lèche-vitrine ».
Au mois de juillet, je suis allée en Turquie avec mes tantes, mes oncles et ma maman. Au mois d’aout, je suis allée chez ma cousine puis elle est venue dormir chez moi. Le vendredi 15 aout, je suis allée à la foire avec elle et le jour suivant, je suis allée à la mer à Blankenberg.
Sevda
Au mois de juillet, je suis allée à la plaine des Spiroux pour donner à manger aux biquettes, aux lapins, aux poules… Je suis aussi allée à la plaine de jeux.
Gwendoline
En vacances, j’ai vu des poissons, des petits et des plus gros. J’ai essayé d’en capturer un pour le montrer à ma petite sœur. Et ensuite le relâcher dans la mer. Mais, je n’ai pas réussi !
Thibaut
Je me suis bien amusé pendant mes vacances. Je suis allé à la mer. Quand je suis revenu, je suis allé chez mes cousins et chez mes amis. Un jour, je suis parti à la piscine de Wégimont et j’ai failli me noyer : j’ai eu de la chance !
Civan
Je suis triste parce que ma Tatie est à l’hôpital depuis trois mois. On a dû l’opérer du cœur. Elle me manque beaucoup.
Gary
Le 8 aout, maman est partie à l’hôpital pour accoucher et j’ai vu le bébé : c’est un garçon et il s’appelle Kevin. Il a les yeux bleus, des cheveux blonds.
Jérémy
Je suis allé en Espagne le 4 juillet. Je suis parti en avion et j’ai vu l’Atonium et la piscine Océade.
Arnaud
Je suis allée en vacances en Italie voir une partie de ma famille qui habite là-bas. Après une longue promenade à Taormina, nous sommes allés à une plage où nous n’étions jamais allés. Malheureusement, il n’y avait pas de sable, seulement des pierres ! Et, de plus, cinq personnes se sont fait piquer par des méduses !
Qui a eu l’idée d’aller sur cette plage ?!?!
Sophie
Je suis allée chez ma mamy ; elle bronzait sur l’herbe et je lui ai fait peur car elle lisait un livre. Ensuite, je suis allée chez ma marraine pour garder Camille, sa petite fille.
Marine
Je suis partie en vacances en France en famille. Un jour, une mouette est passée au-dessus de Sarah qui était assise dehors ; l’oiseau a fait caca sur le short de Sarah !!
Justine
Je suis allée en Espagne, en avion. Quand je suis revenue, j’ai vu à la TV, l’accident de la Spanair : j’ai eu très peur !
Maeva
Ma maman a accouché d’une petite fille : elle s’appelle Anoushka. Elle pèse plus ou moins 3 kilos 400 grammes et elle fait 51 cm.
Allysson
Je suis allée sur un bateau, j’ai fait de la plongée sous-marine et j’ai vu des poissons.
Justine
Je suis allée à la Côte d’Azur, et j’ai bronzé. J’ai vu mes cousines qui sont venues nous rejoindre.
Déborah
Je suis allé rouler à vélo sur le Ravel avec mon tonton jusqu’à Fléron. Et en revenant, je suis allé très très vite. C’était vraiment bien.
Lucas
Je suis allée à la piscine avec mes amies. Je suis tombée dans l’Ourthe où il y avait plein de rochers et maintenant, j’ai une entorse.
Christelle
J’ai fait du billard tous les soirs mais il faisait mauvais. Dommage ! Je suis aussi allée à Blankenberg.
Laurie
Je suis partie avec mon père et mes sœurs à Sète dans un hôtel où la piscine était sur le toit. On avait « vue sur mer ». C’était magnifique !
Ahlam
Le 25 juin, je suis partie en vacances à Djerba, avec ma marraine, mon parrain, mes trois sœurs et mes trois neveux ainsi que l’amie de Laurence. Nous étions onze et on s’est bien amusé !
Marie
En France, je suis allée dans un chenil de chiens de traineaux. Ce sont des loups mais je n’ai pas eu peur (hahaha). J’ai même pu les caresser et même le dominant. J’ai fait du parapente et du saut à l’élastique. C’était très amusant !
Emilie
Régulièrement, nous effectuerons des activités variées dans le cadre du projet "Cap sur la lecture" : il s'agit d'ateliers basés sur la lecture. Sur une semaine ou un jour, chaque enfant participera aux 5 ateliers préparés.
Voici l'atelier "Elmo" (Entrainement à la Lecture par Micro Ordinateur)! Il s'agit d'une activité où l'enfant sera amené à lire différents textes, sous différentes présentations. Les exercices sont prévus pour augmenter la vitesse de lecture de l'élève, sa compréhension, sa technique de lecture en partant de ses acquisitions. Tous les élèves ne font pas les mêmes exercices. Il est tenu compte de leurs besoins. | |
Voici l'atelier "IMAC". Pour le moment, l'enfant utilise un programme intitulé "Celda" (Conjugaison et orthographe). Plus tard, il pourra être amené à chercher des renseignements sur Internet pour réaliser divers travaux scolaires. | |
Voici l'atelier "traitement de textes". Ici, l'enfant apprendra à utiliser le traitement de texte "Word" afin de pouvoir écrire les textes qu'il rédigera. | |
Voici l'atelier "Lecture d'images". L'enfant doit observer une photographie et répondre à une série de questions faisant appel à l'inférence logique. | |
Voici l'atelier "Expérimentation". Le groupe d'enfants reçoit une consigne écrite et doit réaliser l'expérience proposée pour découvrir une notion scientifique. Ici, les élèves ont eu l'occasion de comprendre le principe de l'avion à réaction. |
Dès que possible, quand les enfants auront été testés au niveau de leurs besoins de lecture, l'atelier "lecture d'images" ou "expérimentation" sera remplacé par un atelier "Moniteur de lecture". Les élèves réaliseront des exercices, selon leurs besoins, soit en vitesse, en compréhension, en mémoire, ou encore en recherche d'informations. Il y aura donc 4 ateliers réguliers (Elmo, Imac, TTX, Moniteur de lecture).
Le cinquième atelier dépendra des gouts du jour, de l'actualité, des demandes des enfants, ... mais sera toujours basé sur la lecture (lecture de documents historiques, géographiques, scientifiques, expérimentations, lectures d'images, article de journal, ...)
Ce jeudi 18 octobre, nous avons entamé l'apprentissage d'une chanson de Jacques HIGELIN:
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Nous préparons notre visite de l’aquarium
Le 1 er bassin nous a fait découvrir des poissons d’eau salée de la mer du Nord : la dorade, le bar, la saupe, le mérou noir. Nous avons appris que les écailles lui servaient à glisser facilement dans l’eau. |
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Dans le 2 ème bassin, nous avons découvert la raie. On peut y découvrir 2 trous au-dessus de la bouche, sur le ventre : ce sont les spiracles. Ils servent à faire passer l’eau. Ces deux trous se retrouvent au-dessus de la raie. |
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Dans le 3 ème bassin, nous avons découvert le turbo, caché sous le sable. Nous avons seulement pu voir l’opercule qui bouge et les 2 yeux qui se situent du même côté (le 2 ème œil a migré vers l’autre car c’est un poisson « écrasé »).
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Le bassin suivant abrite des murènes. La murène est un animal qui vit la nuit. Elle est charognard (elle se nourrit de cadavres) et est inoffensive. Quand un plongeur glisse sa main dans une cavité où la murène se repose, elle a peur et elle mord. Comme ses dents sont coupantes et courbées vers l’arrière comme des crochets, les blessures sont sérieuses et la plaie s’infecte souvent.
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Le poisson vache possède 2 cornes ; le poisson ballon se gonfle quand il a peur ; les poissons pilotes font la course l’un derrière l’autre ; le poisson auto-stoppeur se colle sur la coque d’un bateau ou sous une tortue et se fait ainsi transporter ; le poisson chauve-souris dont les petits ont des nageoires comme les ailes des chauves-souris.
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Dans le 6 ème aquarium, vit Némo, le poisson clown. Ce poisson vit toujours en couple (le gros est la femelle et le petit, le mâle). Quand la femelle meurt, le mâle se transforme en femelle et va donc grossir. C’est l’hermaphrodisme.
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Le poisson chirurgien, Dory, vit dans l’aquarium suivant. On le nomme ainsi car il a un couteau dans la queue.
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Le poisson scorpion est très dangereux par ses nageoires aux longs piquants venimeux.
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Nous passons ensuite devant le bassin d’eau douce. Le pacu est un poisson d’Amérique du sud. Il est frugivore, il mange les fruits qui tombent dans l’eau. Le pirarara, poisson chat, possède de grandes moustaches qui lui permettent de sentir ce qui l’entoure. Le poisson citron a une bosse (une boule de graisse) sur la tête qui sert à reconnaître le chef. C’est celui qui a la plus grosse qui est le chef !
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Enfin, les piranhas sont cannibales. Ils ne sont agressifs que la moitié de l’année, à la saison sèche. En effet, à ce moment, il y a moins d’eau, moins de poissons et donc peu de nourriture.
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Ce mercredi 12 novembre, nous avons été reçu à La Maison de la Science à Liège. Nous avons participé à deux animations : l'azote liquide et l'électricité statique.
L’expérience…
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Qu'est-ce que l'azote ?
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Comment faire de l'azote liquide ?
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A la Maison de la Science, nous illustrons quelques applications des basses
températures.
• Cryochirurgie : à la place des verrues, nous gelons une feuille d'aucuba.
• Conservation de vaccins
• Surgélation d'aliments
• Cryobroyage : broyage de métaux, caoutchouc, etc..
• Effets spéciaux : brouillards artificiels pour les spectacles.
Au 18ème siècle déjà, les scientifiques avaient découvert de curieux
phénomènes :
• L'air n'étant pas un bon conducteur, un corps électrisé perd lentement sa
charge. Cependant, cette perte s'accentue si le conducteur présente des
aspérités ou des pointes.
• Une flamme placée à proximité d'une pointe chargée est soufflée dans la
direction opposée de la pointe.
• On peut produire des éclairs entre un disque chargé négativement et
une vis métallique ; par contre il est difficile de réaliser la même expérience
quand une sphère métallique remplace la vis.
En raison de la surface très réduite de la pointe, la densité de charge par
unité de surface y est maximale. Les forces électriques y sont donc très
intense. Dans ces conditions, une ionisation maximale de l'air se produit au
voisinage de la pointe ce qui permet la fuite des charges. L'air ainsi électrisé,
de même signe que la pointe, subit une répulsion. Il se produit un " ventélectrisé " qui souffle une flamme placée à proximité de la pointe.
Cet effet de pointe est aussi à la base du
paratonnerre (ou parafoudre).
Nous simulons un
orage en approchant une boule en cuivre chargée
négativement d'une petite maison sur laquelle un
paratonnerre est placé (une pointe + une chaine).
Cette maison, "remplie" d'un mélange air-éther ne
subit aucun dégât tant que les charges
s'écoulent dans le " sol " par l'intermédiaire
d'une chaine. Dès que la chaine est retirée, la
maison s'enflamme.
Ce mercredi 3 décembre, par une belle journée enneigée, nous sommes allés à Chaudfontaine pour visiter Sourcorama.
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Ce jeudi 11 décembre, les élèves ont visité le Mémorial national du Fort de Breendonk.
L'horreur nazie et ses camps de concentration n'ont pas épargné la Belgique. Le Fort de Breendonk en est une preuve à la fois émouvante et parlante. Il s'agit en effet de l'un des camps nazis les mieux préservés d’Europe. |
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Les objets de demain, vous les triez aujourd'hui!
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Le mardi 29 septembre, nous avons visité le musée de la Vie wallonne.
Dans la maison, la cuisine était la seule pièce que l’on chauffait.
C’est là qu’on cuisinait, qu’on travaillait ou qu’on préparait les bots pour les botteresses.
On restait dans cette pièce pratiquement tout le temps libre.
Dans la salle de bain, on prenait son bain dans une tine (une sorte de grande bassine en fer). Les gens se lavaient une fois par semaine. (C’était le plus propre qui commençait !)
Sophie et Ahlam
Les humains étaient les premiers tireurs de charrette. Pour porter les seaux d’eau, ils avaient le joug pour humain : bois qu’ils posaient sur leurs épaules derrière la nuque. Il y avait aussi les botteresses qui portaient des bots : sorte de panier en osier. Les animaux tiraient aussi : chevaux, chiens, bœufs.
Sarah et Emilie
Les femmes utilisaient le corset pour avoir une taille plus fine (ça pouvait provoquer des douleurs abdominales).
Elles portaient des longues robes (étroites au dessus longues et larges en-dessous).
Pour aller à l’école les enfants portaient tous le même uniforme. Ils s’habillaient comme les adultes. La mode des hommes a peu évolué.
Thibaut et Arnaud
Il y a bien longtemps, au temps des Gaulois, en latin, Galus voulait dire Gaulois mais aussi coq.
Les Gaulois vivaient aussi dans notre région.
Nous avons pris un coq comme emblème, car notre coq est fièr, le bec fermé, prêt au combat,
prêt à nous défendre en toutes circonstances.
De plus, le coq nous relie à la France car eux aussi ont un coq comme emblème mais le leur a le bec ouvert, les 2 pattes sur le sol et il chante.
Allysson et Marie
Les fêtes calendaires représentent les fêtes du calendrier.
Justine et Marine
Christelle et Justine
Le jeu de messe servait à apprendre aux garçons à devenir des curés.
Les poupées en porcelaine servaient à jouer au rôle des parents et apprendre aux filles à devenir des petites mamans.
La dinette, service de table miniature dont les enfants se servent pour jouer, ressemblait vraiment aux vrais services.
Les légos sont des briques à emboiter. Il y en avait dans chaque famille.
Christine et Jeanne
A l’époque, les enfants devaient aller à l’école en uniforme. Les filles et les garçons étaient séparés.
Dans leur classe, il y avait un trou dans le banc pour y poser l’encrier car ils devaient écrire à la plume. Ecrire avec une plume était difficile : ils devaient écrire soigneusement sinon, ils pouvaient faire une tâche et à cette époque, il n’y avait ni effaceur ni correcteur liquide !!
Leurs mallettes et leurs plumiers étaient en bois. Pour compter, ils utilisaient un boulier.
Quand les enfants n’écoutaient pas, ils risquaient de se faire taper sur les doigts avec une férule et de se faire fouetter avec un martinet.
Maeva et Sevda
Un grand merci à monsieur Joseph Medda qui nous a guidés lors de cette classe-promenade.
Un autre grand merci pour m'avoir permis de publier les documents que vous pouvez lire ci-dessous.
L'origine de la production de zinc en terre liégeoise remonte au début du XIX ème siècle
Dans la région de La Calamine était connu et exploité un gisement métallifère de zinc et de plomb. Le minerai extrait de ces mines était exclusivement consommé pour obtenir le laiton (alliage mieux connu sous le nom de cuivre jaune). Déjà au XVIII e siècle, cet endroit était dénommé "Vieille-Montagne".
Jacques Dony couramment appelé l'Abbé Dony est né en 1759, il se destinait à la prêtrise, voie qu'il abandonna pour se marier en 1802, il n'eut pas d'enfant.
Bien que très impliqué dans les affaires de son père dont il avait repris la direction, il restait très passionné par ses recherches et expériences. Sa découverte ne serait, parait-il, due qu'à un pur hasard. Voulant observer l'intérieur de son petit fourneau, Dony, aurait appliqué devant l'ouverture un pot de fleurs dont le trou lui servait de regard. Ce faisant, il avait pu apercevoir les vapeurs de zinc s'y déposer en gouttelettes.
La métallurgie du zinc était née et allait prendre son essor au départ de Liège.
En 1806, le 24 mars, Dony obtint par le décret impérial de Napoléon 1er le droit d'exploitation du gisement calaminaire de la Vieille-Montagne à La Calamine.
En 1809, il fit construire une usine à Liège au faubourg Saint-Léonard.
Le 19 janvier 1810, il obtint de Napoléon 1er un brevet signé qui venait confirmer son invention.
Dony qui avait engagé toute sa fortune, s'était procuré des fonds en s'associant à Hector Chaulet et à Dominique Mosselman. A ce dernier, il céda les ¾ de ses droits
Dony, victime des agissements malsains de Chaulet, était déclaré en faillite le 12 janvier 1819 et mourut ruiné la même année.
En 1824, Dominique Mosselman acquiert les biens et en 1828, y associe ses enfants.
En 1835, propriétaire de deux laminoirs en France et un en Angleterre, il décide la mise en activité de la fonderie de zinc à Angleur pour remplacer celle de Saint-Léonard. Celle-ci sera toutefois maintenue en activité jusqu'en 1880.
En 1837, Dominique Mosselman décide de créer une société anonyme avec le concours de la Banque de Belgique, l'acte de cette société est signé le 24 mai 1837.
La Société des Mines et Fonderies de Zinc de la Vieille-Montagne était née.
La production qui était en 1837 de 1833 tonnes était passée en 1987, date du 150 ème anniversaire, à ± 335.000 tonnes.
Bien que les revendications syndicalistes ne soient pas du tout de mise, dès le début la société semble être soucieuse du bien-être et de la santé de ses travailleurs.
Le logement des ouvriers a toujours été un objet de préoccupation de la Vieille-Montagne. Afin de favoriser l'acquisition d'une habitation proche du lieu de travail, la Société, dès 1860, s'engage dans la voie d'avances de fonds à des taux réduits pour l'achat ou la construction de maisons. De nombreux ouvriers purent ainsi acquérir leur logement.
Des séries de maisons ont ainsi été construites pour la Société sous forme de cité ouvrière et notamment rue Saint-Jacques.
Le Conseil d'administration en avance sur son temps créa en 1842 une caisse d'épargne et en 1847 une caisse de secours mutuel pour les ouvriers blessés ou malades. En 1892, il fit construire sur les hauteurs de Cointe un hospice pour les pensionnés et les orphelins de son personnel.
Un économat fut ouvert, fournissant les biens de consommation courante à des prix modestes et consentant de fortes ristournes.
Était-ce là les précurseurs de notre Sécurité Sociale ou une mise sous tutelle des travailleurs ? Travailleurs qui à l'époque étaient néanmoins satisfaits de profiter d'un bien-être souvent envié par beaucoup d'autres.
médaille frappée à l'occasion du centenaire de la Société de la Vieille-Montagne.
Les souvenirs des habitants de Chênée sont tout spécialement le terril qui devait absorber tous les déchets des fours transportés par les petits wagonnets et aussi les quatre grandes cheminées de la Vieille-Montagne ; sans cheminées, ce n'était déjà plus la Vieille-Montagne et pourtant notre ciel était un peu plus clair. En 1940, ces cheminées avaient été percées de petites fenêtres et servaient à l'armée belge de postes d'observation.
La Vieille Montagne vue des hauteurs de Chênée
Album Maugendre. Reproduction G. Focant
La pensée calaminaire (Viola calaminaria)
Elle ne possède qu'une aire de distribution très restreinte
- Nord-Est de la province de Liège,
- Sud-Est des Pays-Bas,
- Allemagne occidentale.
En fait, elle n'existe que sur les terrains où il y a eu des dépôts de zinc et de plomb.
C'est une plante de 8 à 40 cm de haut, qui fleurit de mai à octobre.
C'est une hémi cryptophyte. La fleur a une corolle généralement jaune, mais elle peut parfois être bleu clair à pourpre dans sa totalité ou dans sa partie supérieure seulement.
Plante à longs rhizomes. Stipule des feuilles moyennes subpalmées, digitées, multifides, à lobe médian dépassant peu les autres lobes. Éperon long de 5 à 7 mm, assez mince, deux à trois fois aussi long que les appendices du calice.
Une turbine, une énorme et bien étrange machine à deux pas du siège social
Les habitués de l’ile aux Corsaires, mais aussi les automobilistes du quai des Ardennes, sont intrigués depuis quelques mois par une gigantesque machine qui a élu domicile sur le barrage des Grosses-Battes.
S’agit-il d’un dispositif qui aide la remontée des saumons, un nouveau dispositif d’épuration des eaux ou une œuvre d’art monumentale ?
Il s’agit d’un prototype de centrale hydroélectrique initiée par la SPE (Société Publique d’Electricité).
L’objectif de la SPE est d’équiper, de ce dispositif, 9 autres barrages situés en Région wallonne entre Hastière et Namur. D’ores et déjà, la SPE promet d’enjoliver le look un peu grossier de la machine.
Son mode de fonctionnement résulte du principe du siphon. Là où cette turbine est innovante, c’est qu’elle est installée sur un bateau, un gros flotteur, plutôt qu’un bâtiment. Placée sur le barrage, la turbine repose sur le fond du canal, grâce à des pieds escamotables, comme une grue sur ses appuis. En cas de panne éventuelle ou de crue de la rivière, les pieds sont rétractés et la machine se met à flotter. Elle est alors treuillée à quai et ancrée.
Hauteur de chute du barrage : 3 mètres
Débit de la turbine : 27,5 m³/sec
Puissance électrique : 485 kW
Production annuelle moyenne : 2.100.000 kWh
Poids : +/- 280 tonnes
Diamètre de l’hélice : 3.250 mm
Ce projet pilote résulte de la volonté de réduire les émissions atmosphériques de C02 (traité de KYOTO) mais aussi de promouvoir les énergies renouvelables.
Cette turbine devrait fournir en électricité 500 ménages par an. Signalons que pour produire cette électricité dans une centrale classique, il faudrait brûler 750.000 kilos de charbon ou encore 275.000 kilos de fuel lourd.
Ce dispositif particulièrement peu bruyant ne devrait pas perturber la quiétude et le sommeil des riverains.
Saluons la volonté de la SPE de privilégier des énergies alternatives qui tiennent compte de l’impact sur l’environnement.
Depuis la mi-avril 2008, une nouvelle échelle à poissons est en construction sur l'Ourthe au barrage des Grosses-Battes à Angleur.
Elle est du même type que celles déjà existantes aux barrages de Lixhe et de Monsin. Elle s'inscrit dans le cadre du projet européen « Meuse Saumon 2000 » dont l'objectif est de permettre à des poissons comme les saumons et les truites de mer de remonter vers leurs lieux de reproduction dans œ cas dans la Vesdre, l'Ourthe et leurs affluents.
Le coût (1.380.000 euros) et l'ampleur des travaux sont considérables : 180 jours ouvrables pour construire : une série de 15 bassins de 3,5 m sur 2,8 m dont deux dits de repos plus grands puisqu'ils feront 3,5 sur 6,35 m.
En tout l'ouvrage représente une surface de 38 mètres sur 13 m. Cette nouvelle échelle est opérationnelle depuis le printemps 2009.
Avant de nous intéresser plus particulièrement aux bâtiments, voici un petit aperçu de l’historique de la Compagnie Intercommunale Liégeoise des Eaux mieux connue sous son sigle “CILE”.
La CILE est, pour la région liégeoise, la garantie d’un approvisionnement en eau potable. Aussi, pour mieux comprendre l’implantation de ses bâtiments, c’est d’abord à l’eau alimentaire que nous devons nous intéresser.
L’eau alimentaire
Les Liégeois furent peut-être les premiers à recueillir l’eau potable. Au milieu du 19e siècle ils entreprirent d’importants travaux de creusement de galeries dans la craie. Auparavant, ils avaient déjà eu l’ingénieuse idée de canaliser l’eau provenant des arènes des mines pour alimenter les fontaines de la ville.
Ainsi, dès le XIVe siècle la ville de Liège était connue pour son vaste réseau de fontaines d’où toujours jaillissait une eau limpide et de bonne qualité.
Il fallut pourtant attendre cinq siècles pour connaître le début de notre système de distribution d’eau.
À partir de 1832, des épidémies de choléra et de typhus s’abattent sur l’Europe occidentale. Ces fléaux firent des ravages dans la population de nos régions, la province de Liège pleure 8462 morts, Liège en compte 2629 et nos communes ne sont pas épargnées.
À la fin du siècle, Pasteur poursuit ses recherches. Un Liégeois publie des travaux sur la propagation de ces maladies, Malvoz ne tarde pas à incriminer les eaux alimentaires.
En 1863, en ville, un réseau de distribution des eaux provenant de la Hesbaye est mis en activité.
Pourtant, ce réseau est bien insuffisant.
En 1874 nait le projet du captage des sources du Néblon sur le territoire d’Ouffet ; il possède un débit journalier de 15000 à 20000 m³ et pourrait suffire aux habitants de la périphérie liégeoise.
Ce projet est très couteux et les communes croient avoir ce dont elles ont besoin, pourtant Gustave Dumont ose attribuer à leurs captages peu profonds la cause des maladies épidémiques.
En 1893, les bourgmestres de quinze communes de la région liégeoise sont réunis pour examiner un premier projet d’association intercommunale.
La loi de mai 1905 autorisant les communes à associer va permettre à celles-ci, de disposer d’un outil juridique et légitime de nature à mettre en œuvre un projet de cette envergure.
Le 27 décembre 1913 les représentants de 20 communes, dont Chênée, signent constitutif de la Compagnie Intercommunale des Eaux de l’Agglomération Liégeoise et Extension (C.I.E.A.L.E.).
Cette société devra encore passer par bien des solutions intermédiaires avant de profiter des eaux du Néblon. Nous retiendrons le captage d’Angleur, sur ce terrain où aujourd’hui sont implantés les bâtiments de la CILE et la station de pompage de Malvaux.
En 1925, le captage des Grosses-Battes est mis en service.
Enfin en 1929, les travaux gigantesques de la pose de la conduite se terminent et l’eau des sources du Néblon arrive en région liégeoise.
Les communes assurent d’abord la distribution de l’eau alimentaire par des pompes placées aux principaux carrefours.
Dans les années 60, l’adduction des eaux du barrage d’Eupen viendra compléter les besoins en eau potable de nos régions.
Lors des premières distributions, la commune de Grivegnée consomme 80 m³ d’eau par jour, en 1995 elle passe à 1800 m³/j et actuellement la moyenne par habitant est de 51,0423 m³/an.
Actuellement la CILE fournit chaque année environ 35 millions de m³ d’eau potable pour couvrir les besoins de 540.000 consommateurs.
Environ les trois-quarts de cette eau proviennent de captages d’eau souterraine, soit 25 millions de m³. Le solde est fourni par les barrages d’Eupen et de la Gileppe (7 millions), la Société Wallonne de distribution d’eau (2 millions) et la Compagnie Intercommunale Bruxelloise des Eaux (1 million).
Elle emploie plus de 364 agents et alimente quelque 237.887 compteurs pour 540 000 habitants.
Par ailleurs, la CILE entend maintenir sa volonté d’investir à la fois dans le remplacement des conduites à risque et aux raccordements y associés et également de satisfaire aux obligations européennes en matière des remplacement ou de réhabilitation de raccordements en plomb. Ainsi, lors de l’exercice 2008, ce sont 17 millions d’euros qui ont été consacrés à cette fin.
Et nous buvons de l’eau potable !
Les bureaux de la CILE
Jusqu’en 1921, les bureaux de la compagnie se trouvaient au n° 1 de la rue de Sélys, dans l’habitation particulière de son Directeur-Gérant : Arthur Halleux. Ensuite, la société s’installe provisoirement au n° 20 de la rue des Guillemins et en 1926 au n° 16 de la rue de la Paix. En 1954, elle commence à occuper un bâtiment de la rue de Harlez. L’extension de la société l’oblige à acquérir divers bâtiments voisins, où les locaux sont de moins en moins adaptés à une organisation rigoureuse.
La CILE a donc décidé de déménager dans des locaux plus vastes et, surtout, plus fonctionnels. Elle fait construire un nouvel immeuble sur un terrain qu’elle possédait dans l'Île aux Corsaires à Angleur.
Un retour aux sources puisque cet ensemble moderne sera érigé à l'endroit où, en 1925, fut construite la première station de captage de la Compagnie, celle des Grosses-Battes. Dans les années 20, cette station a permis à une partie des habitants de l'agglomération liégeoise d'attendre que se terminent les travaux destinés à leur fournir une eau pure et limpide provenant des sources du Néblon.
En 1995, ce nouveau complexe, qui compte quelque 14 000 m² de surface utile, allie l'esthétique à la fonction pratique : il se déploie en plusieurs volumes pour s'harmoniser à l'environnement ; ses parkings sont souterrains. Un hémicycle de verre de quatre étages accueille les bureaux.
Cette construction d’avant-garde, entièrement vitrée et qui nous rappelle la limpidité de l’eau alimentaire, est l’œuvre du bureau d’architecture L’EQUERRE, aujourd’hui disparu.
HISTORIQUE
L'époque des premiers essais de flottage et de navigation sur l'Ourthe est inconnue, mais vers 1800, on constate qu'elle était flottable entre la jonction des deux Ourthes et La Roche et qu'elle devenait navigable au moyen de petits bateaux de 20 m. de long et 2,2 m. de large avec un tirant d'eau de 0,40 m., connu sous l'appellation de "Betchète".
Le bois et le minerai de fer étaient transportés par des bateliers hardis et entraînés.
Sous le régime hollandais, la réalisation d'un canal devant réunir la Meuse au Rhin par l'Ourthe, la Sûre et la Moselle fut étudiée et autorisée le 15 octobre 1825. Le projet était soutenu par Guillaume Ier des Pays-Bas et mis au point par Remi De Puydt[1].
Le canal envisagé devait atteindre 263 km et comporter 215 écluses pour permettre le passage de bateaux de 60 tonnes.
Les travaux commencèrent en 1827, plusieurs barrages furent construits ainsi que des maisons d'éclusier
Des problèmes de financement, l’incertitudes liées à l'avenir géopolitique de la région et l'invention du chemin de fer mineront le projet. L'indépendance reconnue du Grand-Duché du Luxembourg au terme du Traité des XXIV articles en 1839 provoquera son arrêt définitif.
Le canal de l’Ourthe entre la Meuse et l’écluse n° 2 (Chênée)
Ce tronçon aurait été réalisé entre 1848 et 1854
C'est à Liège, juste en face de l'ancienne abbaye du Val Benoît, que débute le Canal de Meuse & Moselle (rebaptisé "Canal de l'Ourthe" en 1847). Au-delà de la petite écluse, un premier bief de deux kilomètres s'étire, quasi en ligne droite, jusqu'à Chénée. C'est là que le canal rejoint l'Ourthe, un peu en amont du confluent avec la Vesdre. Ce bras d'eau permettait d'éviter les nombreuses petites îles que la rivière formait à l'époque avant de rejoindre la Meuse.
L'Ourthe n'était navigable qu'en période de crue. Son cours devait donc être régularisé pour permettre la circulation des bateaux en toutes saisons.
Des travaux importants de resserrement des berges, d'implantation d'écluses et d'égalisation des fonds figuraient au programme de la Société du Luxembourg. Sans oublier l'aménagement de chemins de halage et des nouveaux ponts... ( qui est devenu le Ravel actuellement)
L’écluse n°1
Première écluse située au p.k. 0,00 à une cinquantaine de mètres de l'embouchure de son bief aval dans la Meuse. Mise en service en 1847 elle fut détruite en 1944 mais tout de suite reconstruite après la guerre en 1945. C'est la seule écluse qui a gardé ses portes et qui est encore en état de fonctionnement.
L’écluse n°2
L'écluse se trouve au p.k. 1,53; mise en service en 1847 elle a fonctionné jusqu'après la seconde guerre mondiale.
Projet du Canal de l’Ourthe
Des moules du canal de l'Ourthe
Oui, il y a des moules, appelées anodontes, principalement enfouies dans la vase d'une partie canal de l'Ourthe.
Mais que les gastronomes ne se réjouissent pas trop vite, car ces mollusques affectent une saveur douteuse.
Elle peuvent mesurer jusqu’à ± 18 cm,
Un exemple de symbiose comme Dame nature les invente parfois
En revanche, elles font le bonheur d'un petit poisson assez rare appelé la bouvière.
Ainsi, après la période de fraye la femelle va déposer une quarantaine d'oeufs dans l'anodonte qui seront ensuite fécondés par le mâle.
Nous l'aurons compris: pour pérenniser cette espèce rare de poisson, il faut protéger la moule liégeoise.
Certains ne s'y sont d'ailleurs pas trompés puisqu'une partie du canal de l'Ourthe a été placée
en zone Natura 2000.
La betchete (terme d'origine wallonne) était un bateau de rivière long et à fond plat, de taille variable, utilisé pour le transport des marchandises et des personnes dans le massif ardennais. On les rencontrait en particulier dans le bassin de l'Ourthe (Ourthe, Vesdre, Amblève, Salm, canal de l'Ourthe), où elles étaient un des moyens de transport utilisés pour l'acheminement des matières premières (minerais, bois) et l'expédition des produits finis de l'industrie liégeoise.
Leur forme était particulièrement adaptée à ces cours d'eau au débit parfois abondant, mais dont le lit était parsemé de rochers et avec par endroit de faibles profondeurs. La forme haute de leur étrave permettait aussi le franchissement des barrages. Elles remontaient généralement les cours d'eau par halage.
Envisagés comme moyen de transport privilégié pour la mise en œuvre du canal de l'Ourthe, leur déclin se fera en parallèle avec la construction des lignes de chemin de fers au cœur du massif ardennais au milieu du XIXe siècle. Le tunnel de Bernistap à Buret, passant sous la frontière belgo-luxembourgeoise, fut bâti à leur échelle.
Age : dès 8 ans
Chaque groupe a étudié un des cinq sens et l'a présenté, d'abord à l'ensemble de la classe, puis aux élèves de quatrième année.
J’ai adoré le ski ; c’était génial surtout avec notre mono Serge : il croyait que Allysson et moi étions sœurs jumelles. Le cucu neige, ça aussi, c’était génial. On faisait des pentes super mais je préférais le ski. Nous avons même rencontré une classe de VOTTEM : ils étaient super sympas !!
Justine Cravatte
J’adorais le ski, les balades à Valloire, etc.… Mais la nourriture n’était très bonne à part les pâtes, la pizzas et la saucisse.
J’adorais la soirée casino et les amis de l’école de Vottem : trop marrant.
Et Franck et Patrice étaient super avec nous, les pentes qu’on faisait étaient géniales : la Neuvache était la moins forte mais amusante quand même.
Le mot du jour et le chant commun étaient agréables.
Le cucuneige, pareil, si on y retournait, ce serait génial !!!!
Marie
J’ai aimé le ski quand on descendait les pistes et quand on les remontait avec le télésiège. Les moniteurs étaient sympas. Ensuite, nous avons fait du cucuneige : la descende était cool mais la montée l’était moins. J’ai moins aimé le chant commun. On a rencontré des autres écoles : les enfants étaient sympas. La nuit était bien : on a bien dormi. J’ai aussi bien aimé la ferme, les jeux de piste. Le retour en car n’était pas gai car on était tous tristes de partir.
Les classes de neige, c’est un séjour inoubliable rempli de rigolades, de joies, de bonne humeur, et aussi de tristesse.
Ce que j’ai aimé : la soirée casino, le ski, les amis (Vottem) .
Ce que je n’ai pas aimé : le cul-cul luge, car je me suis fait mal à la tête, le voyage en car, car on ne savait pas bien dormir, les raquettes, car c’était fatiguant.
Alors merci à Monsieur Jeanne, Monsieur Detiffe, Madame Dechesne, et à toute la classe d’avoir si bien animé ces journées et ce séjour fantastique.
Sarah
Le SKI, c’était SUPER : avec Paulo et Sergio qui nous faisaient rire tout le temps. Surtout Paulo. Il nous donnait tout le temps des surnoms.
J’adorais le cuculuge, surtout la grande descente. C’est là que je me suis fais mal au coccyx (j’ai toujours mal, d’ailleurs).
J’adorais le chant commun. Mais à la longue, c’était ennuyant de chanter tout le temps les mêmes chansons.
Le mot du jour, je n’aimais pas trop. C’était ennuyant de chanter tout le temps : « Ouvrez vos mains »
De temps en temps, je n’aimais pas la nourriture.
Les raquettes, c’était SUPER ennuyant. Néanmoins, j’ai appris qu’on pouvait utiliser sa montre pour savoir le nord, l’est, le sud, l’ouest grâce à notre guide.
A la ferme de Mont Thabor, c’était marrant quand les petits chevreaux se sont réveillés, ils faisaient plein de bruit.
Justine Carlier
J’ai vraiment tout aimé. Le ski, le petpetski, les balades , les découvertes, la nourriture.
Pour moi, tout était super. Parlons des chambres : elles étaient petites mais confortables.
Dans certaines chambres, il y avait une porte qui nous permettait d’entrer chez nos voisins.
C’était vraiment cool.
Et je n’oublie pas mon moniteur de ski Serge : il était vraiment bien.
Et surtout merci à mes parents pour mes classes de neige.
En quelques mots c’était super.
Allysson Mania
J’ai beaucoup aimé le « cuculuge » ; le ski était très chouette mais un peu fatigant ! Nos moniteurs, Paul et Serge, étaient super ! La soirée casino était vraiment bien. On a fait plein de rencontres avec ceux de Vottem. Le soir, j’aimais bien le chant commun. Nous nous sommes bien amusés à la chèvrerie en goutant toutes sortes de fromages ! J’étais très triste quand nous sommes repartis. Même si c’était difficile de dormir, on s’est bien amusé dans le car ! Ces classes de neige étaient vraiment géniales !
Sophie Locigno
J’ai bien aimé le ski (surtout quand on allait sur des pistes).
Le petpetski, j’ai adoré (quand je ne fonçais pas dans quelqu’un).
Les raquettes, c’était une belle balade.
La petite randonnée jusqu'à Valmeinier 1500, c’était bien.
A la soirée casino j’ai gagné plein de bonbons, surtout au poker menteur chez monsieur Detiffe (8 d’un coup).
L’activité « dessiner c’est gagné » était sympa.
J’ai bien aimé quand nous avons fait les boutiques.
Emilie
1) J’ai adoré le ski,c’était super bien.
2) Les élèves de Vottem étaient super gentils.3) Le pepetski était vraiment génial.
4) J’ai adoré la soirée casino.
5) Les chants communs étaient géniaux.
6) On a été visiter la ferme c’était cool à part l’odeur.
7) La nourriture n’était pas très bonne à pat les trois derniers jours.
8) Je n’aimais pas la balade en raquettes, car ça faisait mal aux pieds.
9) Les monos étaient très gentils et ils rigolaient tout le temps avec nous.
10) Au retour, je ne voulais plus partir.
11) Dans le car du retour c’était génial surtout avec Laura, Benjamin et Mathias.
12) Nous n’avons pas dormi pendant toute la nuit.
Déborah …
Mes bonnes impressions en classes de neige :
J'aiimais beaucoup le ski.
J’ai beaucoup aimé faire connaissance avec l’école de Vottem.
Le pepetski était vraiment super génial.
J’aimais la soirée Casino.
J’ai aussi apprécié le chant commun.
J’aimais aussi visiter la ferme avec l’autre école.
Mes mauvaises impressions :
Je n’aimais pas la nourriture, car elle était trop sèche.
Je n’aimais pas la balade en raquettes c’était trop épuisant pour remonter les pentes.
Sevda
Je me suis ennuyé.
J’aimais pas le ski c’était nul .
J’ai détesté je me suis emmerdé, c’était nul, je me suis ennuyé, c’était nul.
Samuel
Le ski, j’ai adoré, les deux monos étaient super sympas. Quand on est allé à la chèvrerie, ils avaient un chien trop beau, je garde un beau souvenir de lui.
Le cuculuge était super bien, ça faisait un peu mal aux fesses mais ce n’est pas grave.
Le chant commun, c’était amusant et les personnes qui chantaient étaient trop marrantes.
Et les élèves de Vottem ils étaient sympas, je les adore et je ne les oublierai jamais.
Maeva
J’ai bien aimé le ski à part les lents.
Je n’ai pas trop aimé la nourriture ça dépendait des jours.
J’ai adoré l’école de VOTTEM !!!
J’aimais bien le pepetski.
J’ai un peu aimé les loisirs.
J’ai adoré la soirée casino.
J’ai bien aimé la balade à Valmeinier1500.
Je n’ai pas trop aimé la ferme.
Je n’ai pas trop aimé les raquettes car ça fatigue.
J’ai rencontré deux filles super sympas et super marrantes.
J’ai bien aimé les chants communs.
J’ai bien aimé les temps libres avec Christelle et Marie c’était super.
J’ai super bien aimé manger avec l’école VOTTEM !!!
J’ai bien aimé les moniteurs de ski .
Je me suis bien amusée dans le car à part qu’on a mal dormi .
C’était SUPER !!!!!!
Ahlem
On a fait du cuculuge et comme c’était une grande pente ça allait super vite.
Nous avons rencontré l’école de Vottem qui était super sympa.
Nous sommes souvent partis avec les « Vottem ».
Tous les jours, on faisait du ski même si c’était un peu fatigant, on tenait le coup.
Nous avons aussi visité la chèvrerie et nous avons gouté les fromages.
Il y a eu une soirée casino et tout le monde était content.
La dernière nuit, nous avons fait une balade aux flambeaux et quand nous sommes arrivés au point de départ nous avons bu un bon chocolat chaud.
Sans oublier, tous les soirs, il y avait le chant commun puis l’évaluation.
Tout ça veut donc dire que je me suis très bien amusée.
Christelle
Moi, j’ai aimé faire du ski dans la piste rouge, bleue et verte, j’ai aimé faire des descentes en cuculuge, j’ai bien aimé faire des balades à Valmeinier (1500-1800). J’ai bien aimé la balade en raquettes et aussi j’aimais bien les télésièges. J’aimais bien faire du ski avec les moniteurs.
Thibaut
Quels sont les objectifs d’Escale ?
Ce charbonnage est le dernier du bassin liégeois, il s'arrêta en 1980 pour ensuite s'ouvrir au public comme espace touristique. Ce charbonnage comprenait deux puits pour assurer la ventilation des galeries qui étaient ici sur 8 étages descendant jusqu'à la profondeur de 530 m. À partir de ces galeries, l'exploitation se faisait par la méthode de la « taille chassante » qui consiste à avancer parallèlement à la ligne de la plus grande pente de la veine de charbon. Ces veines pouvaient être exploitées jusqu'à une épaisseur minimum de 30 cm.
La visite de la mine permet une exploration des galeries à -30 et -60 mètres.
Cette visite nous a permis de mieux comprendre les conditions de travail des mineurs.
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Ce jeudi 11 avril, la classe a visité le salon du Service d'informations des études et des professions.
Dans un premier temps, les élèves, répartis en 2 groupes, ont pu participer à des ateliers, observer des démonstrations diverses :
L'enseignement secondaire, c'est pas sorcier!
Expérience scientifique : pratique du laboratoire et construction d'une hélice magique
Puériculture : démonstrations autour du bébé
Animation interactive sur la thématique de l'estime de soi
Métier de bouche : boulangerie-pâtisserie et boucherie
Français - math - géo : quand internet devient un outil
Après le diner pris en commun avec nos amis de Vottem, rencontrés en classes de neige, les élèves ont pu déambuler dans le salon à la recherche de renseignements ou pour participer à d'autres démonstrations. La coiffure a eu beaucoup de succès...
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Ce mardi 16 mars, nous nous sommes rendus à pieds au Centre funéraire de Robermont.
Arrivés à 13 heures, nous avons été reçus dans une salle d’accueil par une hôtesse. Celle-ci nous a expliqué quels services l’intercommunale offre à la population : les salles de cérémonie, les salons funéraires, le crématorium et la cafétéria. Ces services sont indépendants les uns des autres : on peut en utiliser un, ou deux, ou trois ou alors les quatre.
Ensuite, nous sommes sortis du bâtiment pour voir un des deux colombariums, une salle dans laquelle sont placées les urnes contenant les cendres du défunt. Nous avons aussi vu les quatre pelouses de dispersion et la pelouse d’inhumation.
Peu après, nous sommes rentrés par la régie : c’est une pièce équipée d’écrans et de matériel HI-FI. C’est là que les hôtesses surveillent les cérémonies et envoient la musique choisie par la famille.
Après avoir traversé les quatre salles de cérémonie « omnicultes » et les six salons funéraires, nous sommes entrés dans le cœur du Centre funéraire : le crématorium. Il est composé de quatre fours entièrement informatisés. La température de crémation varie de 850 ° à 1150 ° et la durée dure entre 75 et 90 minutes, cela en fonction du poids de la personne. Chaque corps reçoit un numéro qui sera gravé sur une pastille placée dans l’urne funéraire.
Pour terminer la visite, nous avons été invité dans un salon de réception à la cafétéria. L’hôtesse nous a offert une collation et un livre de « Pierre Tombal » au nom du Centre funéraire.
Vers 14 h 45, nous sommes repartis, toujours à pieds, vers l’école.
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Nous sommes sur la rive gauche. Voici la Meuse vue de la passerelle. Nous regardons vers l'amont, le pont Kennedy. |
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Nous sommes sur la rive droite. Nous regardons vers l'aval où nous voyons le pont des Arches. | |
La guide nous a expliqué qu'il y avait un pêcheur (né le 1 avril) qui buvait beaucoup d'alcool. Pour pêcher, il mettait le ver de terre dans sa bouche. Il les attachait à sa ligne puis les mettait dans l'eau : c'est pour cela qu'il en pêchait beaucoup. |
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Voici le pont des Arches : il a été détruit et reconstruit de nombreuses fois. Autrefois, c'était le seul pont de Liège. | |
La grosse maison rouge que nous voyons compte 365 fenêtres. C'est le musée Curtius, du nom de son premier propriétaire. |
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Après avoir visité l'exposition "Vie de grenier" et mangé notre diner dans l'espace des saveurs au musée de la Vie Wallonne, nous avons emprunté une partie du sentier des Coteaux. Nous avons pu admirer Liège et ses nombreux clochers d'églises.
La promenade s'est terminée peu avant 13 heures car nous allions visiter une autre exposition, celle ci-dessous.
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Nous écoutons les bénévoles qui nous présentent l'exposition et l'A.S.B.L. La Lumière. | |
Une dame nous explique les différents types de problèmes que nous pouvons avoir avec nos yeux. | |
Ici, Emilie, Justine, Christine, Jeanne et Marine vont écrire leur nom avec une machine à écrire en braille. | |
Monsieur Patrick, une personne aveugle, nous prend les mains pour nous faire toucher la reproduction d'un tableau que nous devons imaginer sans le voir. | |
Voici une toile de Cézanne et à côté, une représentation de cette toile en trois dimensions. | |
Ceci est la représentation d'un tableau de Cézanne, créée par un non-voyant à La Lumière. |
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Année scolaire 2010-2011
Quelques photos de la préparation de L'Avide centenaire
La visite à la ferme avec la classe de madame Aïn
La visite de la ferme avec la classe de madame Corbaye
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Le cross des écoles : 5 ème année
Le cross des écoles : 6 ème année
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Les classes de neige : 6 ème année
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Animation cinéma "Rouge comme le ciel"
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Projet théâtre : 6 ème année
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Classes de mer à Gravelines : 5 ème année
Exposition Chagall : 3 ème et 4 ème année
Classes de neige à Lavarone : P6
L'ennemi : 5 ème et 6 ème années
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XpériLAB : 5 ème et 6 ème années
Visite de l'aquarium : 3 ème maternelle
Expo Dynamath : 6 ème année
Visite d'une ferme pédagogique : maternelles
Visite d'une ferme pédagogique : 3 ème maternelle
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Troc'livres : 1 ères années
Excursion : 1, 2, 3, et 4 èmes années
2035, la pièce : 6 ème année
Excursion : 3 ème maternelle
Années 2010 - 2012 : classe de Paul Jeanne
Septembre 2020