Je présente un exposé. |
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I. AVANT L’EXPOSE Pour éviter la panique et les trous de mémoire. Si le plan n’est pas imposé : je recopie, soigneusement et lisiblement, le plan détaillé, que je garde sous les yeux pendant l’exposé. Je place des repères dans le plan pour savoir à quel moment j’aurai un document à présenter et quel document devra être présenté. Je classe ces documents dans l’ordre d’utilisation. Je prépare une maquette du tableau. Pour respecter la durée fixée, j’effectue un essai. S’il s’agit d’un travail de groupe: nous répartissons les rôles ; - qui parle et à quel moment ? - qui écrit au tableau et à quel moment ? - qui manipule et à quel moment ? Si l’exposé est présenté devant la classe : je note dans le plan détaillé des questions pour faire participer l’auditoire. Quelques jours avant l’exposé, je réserve auprès du professeur, les appareils dont j’aurai besoin. II. LE JOUR DE L’EXPOSE. Je regarde l’auditoire. Je retiens l’attention en me déplaçant, en écrivant, en montrant. J’utilise les documents pour illustrer ma présentation. J’articule. Je parle fort et assez lentement. Je varie l’intonation de ma voix. Je soigne mon langage. Il est simple et correct.
Töpffer (1799-1846), "Histoire de Mr Pensil" Pédagogue, écrivain, critique d'art, inventait dans les années 1820 un genre narratif, la "littérature en estampes".
"L’on peut écrire des
histoires avec des chapitres, des lignes, des mots : c’est de la littérature
proprement dite. L’on peut écrire des histoires avec des successions de scènes
représentées graphiquement : c’est de la littérature en estampes". |
Voir aussi :
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